Partout en Asie du sud-est, conduire une moto est affaire d'équilibriste. Au Cambodge, c'est encore plus vrai. Chauffeurs et passagers s'accomodent d'un lourd chargement et gardent le sourire quand il s'agit de se frayer un passage dans la circulation dense de la capitale, comme ci-dessus.
Souvent, on circule à plusieurs sur le même engin et les plus jeunes sont habitués aux premières places, derrière le guidon. A l'arrière du deux-roues, on voit parfois des cochons. Avant d'être transformés en saucisse, ils lèvent une patte, histoire de signifier qu'ils profitent du trip moto (avant les tripes...) et donc de la vie, encore quelques instants.
Tchao,
Angel.
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A Phnom Penh. |
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Vers Beng Mealea. |
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Depuis le bus vers Poipet. |
Et à vélo...
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A Phnom Penh. |
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A Siem Reap. |
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Vers Beng Melea. |
ah oui...
RépondreSupprimerça c'est toujours très captivant.... moi aussi j'adore ça... ils sont épatants. ça relève du folklore mais c'est pourtant bien réel...
ils sont trop forts...en équilibre sur leur vélo et en broderie sur leur petits sacs traditionnels ;)...
quant à l'art du sac en papier journal...fallait y penser! les rois de l'économie
merci merci merci