Hello les amis!

Toute bonne chose a une fin. Notre tour d'Asie du sud-est (15 sept. 2010 - 15 juil. 2011), c'était : l'Indonésie, la Malaisie, Singapour, la Thaïlande, le Laos, le Vietnam puis le Cambodge.

Décollage-retour vers Paris dans quelques heures, à 00h25 vendredi (heure locale).
A +

mardi 28 décembre 2010

Jungle bells!

Parce qu’on avait envie de changer de rythme, de s’investir localement et, pourquoi pas, d’economiser un peu d’argent, on a fouille sur internet et degote une semaine a la ferme, en tant que « volunteers » : six heures de boulot et deux euros cinquante par jour, contre le gite et le couvert. La ferme biologique de Ladia et Hana, originaires de Republique tcheque, est nichee au beau milieu de la jungle, a une dizaine de kilometres du village de Lenggong (1). 

 
Bricolage à quat'sous ou comment jardiner avec les moyens du bord.
On y est pour filer un coup de main et on est servi ! Avec les deux Canadiens (encore des Canadiens !) Brian et Jenna ainsi que l'Anglais Rory, on s'échine autour des jeunes pousses de la serre six heures par jour. On cure un ruisseau ou on bêche pour trouver la bonne terre. On plante à gogo dans des caisses de bois faites maison. On fertilise avec les dejections des chèvres... Que du naturel avec pas mal d'huile de coude.
La débrouille est notre meilleure alliée. Une perceuse branchée sur une batterie de voiture, un générateur facétieux qui fait faut bond au moment du dîner, une scie élimée qui peine à gratter la planche...  On se creuse le ciboulot pour que tout tienne avec trois bouts de ficelle. Notamment pour le toit végétal. Un filet tendu au-dessus de la "nursery" et sur lequel des plantes grimpantes  viendront prendre appui. "Beau travail", nous félicite Ladia à notre départ. Un beau cadeau de Noël pour notre ami tchèque. Nico.


Dans les bois.
« Ouvrez vos yeux. Soyez prudents. » Ladia, le jeune proprio aux faux airs de Sean Penn, nous met en garde. Des pythons et des cobras, il en a deja vus. Jusque dans le coin de sa cuisine, recemment, a ce qu’il dit. On fera gaffe...
La premiere nuit, on n’entend rien mis a part le calme des tenebres et de la jungle qui nous entourent. Le matin, le caquettement des poules, au-dessous de notre piaule, et le cri des gibbons (les singes accrobates), au loin, nous reveillent.
En tout et pour tout, on verra des centaines de fourmis, habillees de rouge ou noir, quelques sangsues qui m’epargneront, des petites araignees et une grosse tarentule qui s’est invitee dans la chambre de Rory, autre ouvrier benevole... Et sans deconner, bien que celle-ci etait imposante (la taille de mon poing), je crois que je n’ai plus si peur de ces insectes-la, a force de les avoir cotoyes! A verifier.
J’ai donc appris a combattre ma peur... J’ai aussi appris a construire un toit vegetal et a planter des concombres, du mais, du choux chinois... Enfin, j’ai appris a me taire : avec ces hotes et les autres volontaires qui discutent exclusivement en anglais, moi apres six heures de boulot et douze heures de « Yes Ok what is this vegetable ? Ok. Can you repeat, please ? OK. I’m sure I understand now... etc. », le soir, j’optais pour un bon bouquin, signe Harlan Coben. Son titre : Dans les bois. Angel.


 La ferme au quotidien:


Rencontre avec une tarentule (On s'croirait a Fort Boyard, on sait...):

 Pour d'autres extraits de notre semaine a la ferme, cliquez sur le chemin :



 C'est la-bas, aussi, que nous avons fete Noel! (Le cliche a la plage avait ete anticipe de quatre jours...)




De gauche a droite: Ladia, le proprio de la ferme, Angel, le couple de Canadiens Brian et Jenna, Kevin l'Americain qui emmenage definitivement a la ferme, une residente en chambre d'hotes Geina (et sa copine Jesse qui prend la photo), l'Anglais Rory et Nico!





(1) http://sites.google.com/site/permacultureperak/home.
Le site appartient au reseau de volontariat gratuit Help Exchange (http://www.helpx.net/index_french.asp)

vendredi 24 décembre 2010

Le Père Noël est deux ordures!



On vous imagine bien, mimant la marche de l'Empereur sous moins 5 degrés!
Juste pour charrier, on s'est dit qu'on allait prendre une photo là : sur cette plage de l'ile Pangkor, dans l'eau à 28 degrés.

Mais c'est surtout pour vous souhaiter un

Joyeux Noël!


Merry Christmas!



Et bon appétit, c'est kloug!




Angel et Nico.

PS: On veut des photos de vous sous la neige! Envoyez-les sur nos boîtes mails en janvier. La plus belle sera publiée sur : www.lemercredinarrivepasquunefois.blogspot.com



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mardi 21 décembre 2010

L'entre-deux tours à Kuala Lumpur




Un premier tiers dans notre tour d'Asie du sud-est. Trois mois que l'on est parti et c'est dans la capitale de Malaisie, Kuala Lumpur, que nous échouons. Cette ville nous fait une bonne impression. Surtout en comparaison de Jakarta qui avait triste mine.

Un mini Stonehenge sur la route du planetarium.
 Kuala Lumpur, c'est un peu une pause. On prend nos petites habitudes. Déjeuner au "Food court" d'Ampang park, dîner dans les échoppes du quartier chinois.
Une ville plutôt engageante et moderne avec ses buildings et ses fameuses tours Petronas, parmis les plus hautes tours du monde.





Une ville où, comme dit Angel, on prend de la hauteur mais où on peut aussi tomber bien bas. Comme lors de cette fameuse soirée dans notre guesthouse où  deux Malaisiennes nous ont appris un mémorable jeu à boire. 

 

Nous n'en sommes pas sortis indemnes mais ça rappelle de bonnes soirées avec les copains.
J'ai recupere un surnom bien connu : Jesus.

 Photo prise a notre depart de Matahari Lodge.


Nico


Patrick a aussi fait un tour à Kuala Lumpur.


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PS : Dans le message "Potes et melting-potes", on a ajouté quelques images du temple hindou de Kuala Lumpur, pour ceux qui veulent. 



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dimanche 19 décembre 2010

Toi t'es trop VIP !!!!!!!


Depuis notre arrivée en Malaisie, on se dit que le transport, c'est top. Bus publics climatisés, routes asphaltées, et même un bus appelé "Super VIP" entre Johor Baru et Malacca. Même prix que les autres mais avec des sièges vermillon ultra larges, coussin pour la tête et moquette étoilée au plafond. Alors qu'on se faisait à ce nouveau confort, à Malacca, on retrouve un bus "à l'ancienne". Bondé et surchauffé. Angel trouve une place près du conducteur... au dessus du moteur. Par 35°, le sauna est efficace. 

Nico
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samedi 18 décembre 2010

Avec les "trishaw", c'est tous les jours Noël




Le "trishaw", c'est le pousse-pousse local. Et ceux de Malacca valent leur pesant de noix de cajou ! Fleuris, colorés, lumineux dès le soleil couché, ils ont aussi pour particularité de cracher des décibels pour appâter le chaland. Et quand je dis cracher, ce n'est pas un vain mot ! Les styles musicaux vont de la variété malaise à la techno. Mon préféré : celui qui déambule avec "Hotel California".

Nico



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vendredi 17 décembre 2010

Les impôts chassent Picsou et Rapetout


Yahouhou! Nos réclamations auprès des services fiscaux ont abouti, de part et d'autre : on reçoit quelque 200 euros à nous deux (pour la redevance d'une télé qu'on n'avait plus et des intérêts majorés sans raison). C'est une bonne semaine de voyage assurée!

Il était temps, on commençait à avoir certains comportements délictueux : Nico a piqué un thriller français dans un B&B (en même temps, il n'y a pas beaucoup de lecteurs français dans le coin), moi j'ai gardé un magazine de filles écorné, trouvé dans la pièce commune d'une maison d'hôtes (en même temps, il date de juillet et permet à d'autres filles de rester plus intelligentes), et nous avons omis de payer notre bouteille d'eau, dans une échoppe de rue (là, c'était un pur oubli!)


Allez, on trinque et on se reprend,








Angel.


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mercredi 15 décembre 2010

Breaking news : on s'est réconcilié avec le riz!


Certains d'entre vous se sont inquiétés de ne plus voir le tout petit bout de bedon de Nico.

A) Il a perdu l'appétit, l'Indonésie nous ayant mis à l'épreuve

B) il ne boit plus beaucoup de bières, peut-être...

C) Il fait chaud.

Réponse C : Nico se surnomme lui-même "Human waterfall"! Voilà qui vous rassurera, on l'espère.

Autre motif de réjouissances : en Malaisie, on se régale à nouveau! Les cuisines de rue, chinoises, malaises ou indiennes sont un pur bonheur! Qui a dit : "la gaieté vient du ventre"?


Ci-dessus, le "cendol", dessert malais délicieux : de la glace pilée et des vermicelles à la farine de haricot nappés de lait de coco frais et de sirop de palme. Un remède idéal contre la chaleur!






 Ci-contre, le "pappadam", une galette indienne : fine, croustillante, servie avec des légumes et des sauces au curry, au yaourt, au piment... Le tout pour 3 francs 6 sous!











En prime, une courte vidéo de l'ambiance dans le resto :



Ci-dessous, le "nasi" cuisiné par un Chinois : avec du poulet frit pour Nico; des crevettes et des calamars pour Angel. C'est là qu'on s'est réconcilié avec le riz!

















Bonus : la cuisine chinoise en direct live (le mec a un T-shirt de Bali mais nous sommes bien en Malaisie!).




Allez, bon appétit si vous êtes à table, comme dirait Pujadas,







Tchao,
Angel.




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Potes et melting-pot


C'est comme les Malouins: il y a les "Nim", les Nés-intra-muros, et les autres.
En Malaisie, les Malaisiens sont les personnes nées en Malaisie, peu importe leurs origines ethniques, et les Malais, "de souche" . Les Chinois et les Indiens, beaucoup d'ouvriers défavorisés et quelques riches marchands, y ont aussi leurs quartiers. Et la cohabitation se passe bien... du moins depuis les dernières émeutes raciales de 1969, année au climat chaud!



Pour les photos des quartiers chinois de Kota Kinabalu et Kuching (Bornéo), Malacca et Singapour, cliquez sur cette photo-ci:




 


Pour les photos du quartier indien de Singapour, cliquez sur cette photo-là:










Enfin, pour quelques images du temple hindou de Kuala Lumpur, cliquez là :





Tchao,
Angel.




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lundi 13 décembre 2010

Singapour, la liberté à prix d'or



Vue depuis le quartier chinois de la ville.
"Singapour, c'est le Paris de l'Asie", nous avait prévenu Yvon en septembre. Au niveau de l'architecture, cette ville mélange quartiers anciens et d'autres, plus visibles, ultra modernes. Voilà pour la description. Ah, Epinal, quand tu nous tiens.
 Au niveau du portefeuille, comme à Paris, ça douille. On s'adapte. On loge à peu de frais en dortoir, on dépense avec parcimonie et on n'y passe que trois jours. Pas pour faire ce qui motive la plupart des visiteurs, le Singapour des casinos et du shopping, mais pour sortir (un peu) des sentiers battus.


Sur le toit du temple de la relique de la dent du Bouddha.


Quand on vous dit que c'est glauque !
Comme Haw Par Villa. Un parc dit "d'attractions" sans vraiment d'attractions mais avec de glauques mises en scène de statues... où nous sommes les seuls visiteurs !

Ou bien un élevage de grenouilles destinées à alimenter les restaurants chinois de cette ville-île-Etat.


Dans le bus, invitation à la courtoisie.



L'une des spécialités plus méconnues de Singapour n'est pas culinaire. Les interdictions fleurissent un peu partout. Prohibition de la cigarette en pagaille, défense de prendre des photos dans les magasins sous peine de poursuites, interdiction de manger ou boire dans les bus (500 dollars d'amende)... 

On ne rigole pas avec le règlement ; il faut marcher droit ! Mais contrairement à Paris, le taux de râleurs est semble-t-il beaucoup moins élevé à Singapour !


Nico







Sur l'Henderson Waves Bridge, un pont piéton au design futuriste, à 36 mètres de haut.

dimanche 12 décembre 2010

Au nord, c'étaient les Corons... Au sud, des corrom...pus!



C'était le 18 octobre, à Bali. On nous avait prévenu. On l'a vu. Notre première expérience de corruption : des flics qui stoppent notre bus avant de le laisser reprendre la route, contre un backchich de 50 000 rupiahs...

C'était le 27 novembre, à Jakarta. Sur toutes les télés de l'aéroport, une publicité dénonce la "korupsi" et prévient de son destin : la prison.

C'était début décembre, sur l'île de Bornéo, en Malaisie : une semaine à observer les résultats des relations entre le gouvernement et certaines grosses compagnies, dénoncées par les partis d'opposition et, de temps à autres, par la presse internationale. L'État de Sarawak est le plus étendu de l'île. Recouvert de forêts tropicales. Décharné par ceux qui, dans le même temps, volent les tribus de leurs terres. L'industrie du bois est forte. Et critiquée. Les grandes boîtes ont toutes un lien avec un ministère. D'un commun accord, ils vident la jungle de ses arbres et de ses habitants. Un méga-barrage injustifié entrera en service cette année. Douze autres sont en projet.

L'Indonésie est classé dans les derniers pays en matière de lutte contre la corruption (110e sur 178 pays) par l'ONG Transparency International. La Malaisie est 56e.

Allez, tchao,

Angel.



La jungle....
La jungle...
Et, en allant vers la mer de Chine...

... les industries du bois.

vendredi 3 décembre 2010

La Malaisie, paradis pour les "backpackers"


Ce soir, Nico se fait de fausses frayeurs devant "Predators 3" pendant que je vous écris. Moi, j'aime pas les mecs qui servent de gibier...
Première adresse pour routards à Kota Kinabalu.
La séance de ciné se passe dans la pièce commune de la pension, avec un autre Français et deux Malais, un hyper-tatoué et un hyper-buveur-de-bière. C'est qu'on vit en communauté depuis une semaine, tantôt avec une Belge et un Allemand, un autre jour avec une Française de Caen...


En Malaisie, choisir une bonne auberge est chose aisée. On en trouve à foison, à petits prix qui plus est : 10 - 12 euros la nuit. Avec des draps sentant bon la lavande, des douches communes exemptes de fourmis et des petits-déj servis sans riz. On est déjà loin de l'Indonésie...


Sur le bateau, entre Sibu et Kuching.
Dans le bus, entre Bau et Kuching.
A l'extérieur, la vie est cosmopolite : Chinois, Indiens et Malais évidemment. A l'intérieur, elle est Européenne principalement. Et Lexovienne, parfois : Aude, la Caennaise, compte dans sa famille l'attachée de presse de la ville de Lisieux... On l'avait bien dit : le mercredi n'arrive pas qu'une fois...




Angel.
Kuching et sa mascotte, le "chat". So kitsch!

mercredi 1 décembre 2010

Jouons à l'auto-tamponneuse avec l'administration douanière


Problème de mathématiques. Soit deux Français voyageant en Malaisie, sur l'île de Bornéo. Ils veulent rejoindre la ville de Miri depuis Kota Kinabalu. Un trajet en bus climatisé, moins authentique mais plus confortable qu'en Indonésie.

Dès le départ, on nous fournit les documents nécessaires pour circuler entre les deux État de la fédération malaise (Sabah et Sarawak) et passer les frontières du sultanat de Brunei. Plein de petites cases à remplir en multiples exemplaires. Rébarbatif. Première poste de contrôle, tout le monde descend du bus. Nous les derniers. On n'a pas capté la consigne du premier coup. Nos notions de Malais sont encore balbutiantes.
Passeport et documents dûment complétés en main, on patiente. Un sourire à l'agent. Emballé c'est pesé, deux coups de tampons sur le papier d'immigration. Les deux-tiers dudit document deviennent propriété de l'administration ; le tiers restant retourne dans notre passeport, pour la plus grande joie du douanier suivant... dans son bureau situé à quelques dizaines de pas ou quelques centaines de mètres, selon le prestige du "check-point". Un point de sortie et un point d'entrée à chaque passage. On se prendrait presque pour des travailleurs palestiniens traversant la frontière israélienne. En beaucoup moins compliqué évidement. Le fonctionnaire asiatique n'est pas bien zélé avec l'occidental et, après tout, on n'a pas de mauvaises têtes.

A chaque contrôle, notre passeport s'enrichit lui aussi d'un frénétique coup de tampon. Deux pages plus que bien remplies sont le trophée de près de onze heures de bus dont plus d'une heure dans les différents points de contrôle.

Combien de coups de tampons auront donné au total les douaniers de Bornéo pour permettre à ces deux Français de trouver une bonne auberge à Miri ?

Sortez vos cartes de géographie et vos calculatrices. Vous avez deux semaines pour envoyer vos réponses en commentaire (et vous inscrire comme membre pour ceux qui ne l'ont pas encore fait). Un cadeau "officiel et assermenté" à gagner par tirage au sort parmi les bonnes réponses. Règlement déposé devant maître T. Vendu, huissier à Cercueil, dans l'Orne.

Nico

PS : Après la Malaisie, on sera à Bangkok pour un trimestre, à compter de fin décembre. Le contrat de trois mois que j'escomptais avec le journal francophone en Thaïlande s'avère plus difficile à finaliser que prévu : les finances de la presse hors de France ne sont pas meilleures que dans notre cher pays. Difficile d'engager un salarié supplémentaire... et étranger. Mais rien n'est acté. Pour une période plus courte, j'ai bon espoir que les démarches soient fructueuses. Avec, en complément, quelques piges glanées lors de nos séjours (ils sont OK).



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lundi 29 novembre 2010

Indonésie, on n'a pas tout dit ...





 Le 27, on s'est envolé pour la Malaisie. Pour ceux qui ont encore un peu faim d'Indonésie,  voilà ce qui nous vient :


"Top ten" de ce qu'on a aimé
  • être tous les deux, ENFIN!
  • le sourire accueillant et la chaleur (évidemment, sous 40°C...) des Indonésiens.
  • découvrir les îles à moto.
  • ne pas voir arriver l'hiver.
  • les paysages de Florès : montagnes, rizières, forêts de bambous, de cocotiers et d'arbres à coton... Et de Papouasie : jungle, lacs, torrents...
  • les rencontres avec Ega et Harry sur Java, Adi et sa famille à Bali, les Dani et les missionnaires de la Mission Aviation Fellowship en Papouasie (ce sont eux qui nous ont mis en contact avec notre "guide" Franky)...
  • être initiés à une cérémonie religieuse hindou.
  • surprendre des poissons-clowns sur l'île de Seraya.
  • accéder à des sites incroyables : le mont Bromo, les temples de Borobudur et de Prambanan (avant qu'ils ne soient recouverts de cendre...), la vallée du fleuve Baliem.
  • l'ambiance dans les bus et sur le bord des routes en attendant qu'un pneu soit regonflé ou qu'une roche soit écartée.

FLORES - Seraya island

FLORES - Moni

FLORES - Nage

TIMOR - None

PAPOUASIE - Wamena
BALI - Guwang
PAPOUASIE - Seima (vallée du Baliem)





 "Top five" de ce que nous n'avons pas aimé :
  • la bouffe, la bouffe, la bouffe! Du riz, du riz, du riz ou des nouilles, des nouilles, des nouilles! Nico rêve d'une galette jambon-gruyère avec une noix de beurre et Angel d'une aubergine farcie (?)
  • les petits soucis de santé d'Angel (dos...) qui mettent un peu de temps à s'estomper.
  • les moustiques et autres insectes qui nous piquent sans nous dire s'ils sont dangereux ou bien juste bruyants...
  • la pression de certains vendeurs de souvenirs qui voient en nous un portefeuille ambulant débordant de dollars.
  • certains voyages sur les routes crevassées qui nous ont mis sérieusement à l'épreuve!

En Indonésie, nous avons aussi appris à nous laver quotidiennement à l'eau froide à l'aide d'une casserole en plastique ("On se lave comme des petits chats" grognait un voisin à Seraya), à nous brosser les dents à l'eau minérale, à passer nos soirées enduits de produit anti-moustiques, à tuer vingt bêbêtes en un soir et à surfer sur internet comme dans les années 90 ...


On se retrouve à Kota Kinabalu ou ailleurs sur l'île de Bornéo,

Angel et Nico.





 A bientôt....

Pour de nouvelles aventures...



Et des photos décoiffantes!