Hello les amis!

Toute bonne chose a une fin. Notre tour d'Asie du sud-est (15 sept. 2010 - 15 juil. 2011), c'était : l'Indonésie, la Malaisie, Singapour, la Thaïlande, le Laos, le Vietnam puis le Cambodge.

Décollage-retour vers Paris dans quelques heures, à 00h25 vendredi (heure locale).
A +

lundi 30 mai 2011

Merveilles d'Angkor 1/2 : les dieux sont dans la nature


Y a des jours où nous nous prenons un peu pour des explorateurs. Comme hier. Nous avons commencé la visite des temples khmers par le plus petit (Banteay Srei, date de construction mal connue: soit 967, soit le XIIIe siècle) et l'un des mieux conservés (Banteay Samré, XIIe siècle). Oui, oui, quand il est question des sanctuaires d'Angkor, on use forcément de superlatifs.

Le premier était donc petit et donc mignon, ça va de pair. Dire que le second est en bon état serait trop facile, alors je vais préciser : élégant et raffiné avec ses entrées sculptées. Ok, Nico, l'historien, en parlera mieux la prochaine fois... En tout cas, eh bien, ça laisse "un goût de reviens-y" comme dirait mon grand-père. Nous ne les visiterons pas tous : il y en a plus de 300, rien qu'à Siem Reap! Et la sagesse asiatique demande à ce que nous prenions notre temps...


Le temple Banteay Samré est également imposant (et renversant)!



C'est une autre merveille, nichée dans la jungle, qui nous a bluffée.
Son petit nom: Kbal Spean. Ses mensurations : à 50 kilomètres de Siem Reap, après une heure et demi de marche, sur un sentier très rocheux de 2 kilomètres.








Déjà, la balade au milieu des arbres noueux, accompagnés par un vent léger et le cri de gibbons, c'était vraiment pas mal.











Oh, un pipaillon!
Nous avons retrouvé une bébête bien connue!











Puis, il y eut les sculptures cachées dans les décombres et la végétation : Vishnou, Shiva, Uma ... Nous sommes entrés dans le monde ancien des divinités hindoues. C'est là qu'on s'est sentis des âmes d'explorateurs, lorsqu'on a découvert ici un Shiva allongé dans le lit de la rivière, là son épouse, ailleurs une ribambelle de "linga", symbole phallique de fertilité, coupés au pied.
Enfin, ce fut la douche froide, sous une cascade fréquentée. Nickel pour revenir à la réalité, aiguayer la sueur et se remettre le pied à l'étrier!
 


Allez, tchao,



Angel.

samedi 28 mai 2011

"Et ça fait combien en euros ?"


A peine entrés au Cambodge et il faut ressortir la calculatrice. A chaque pays sa monnaie. Et ici, il y en a même deux "officielles" en circulation. On doit jongler entre le "riel" et les dollars américains que crachent les distributeurs automatiques. Pour tout simplifier, on nous rend même la monnaie avec des billets des deux devises. Fâchée avec les maths, Angel est un peu paumée. "Ça fait combien en euros ?" Le calcul est le suivant : un dollar = 0,70 centimes d'euros = 4000 riels. Alors on fait marcher la caboche et ça me rappelle le calcul mental à l'école primaire.

Dans les différents pays que l'on a traversés, le nombre de zéros a évolué. On a été multimillionnaires au Vietnam. Pauvres à Singapour. Voici un petit récapitulatif des conversions :

- Thaïlande : un euro = 40 bahts.
- Indonésie : un euro = 12 000 roupiahs.
- Malaisie : un euro = 4,30 ringgits.
- Singapour : un euro = 1,70 dollars singapouriens.
- Laos : un euro = 11 500 kips.
- Vietnam : un euro = 30 000 dongs.
- Cambodge : un euro = 5 800 riels = 1,40 dollars.
 

Sachant cela, il faut aussi se faire aux prix du marché, sur place, pour tout ce que l'on achète. Le coût de la vie n'est pas le même au Laos et à Singapour. Le prix d'une chambre est de 3,50 euros à Siem Reap (Cambodge) et on a du régler 24 euros pour deux dans des dortoirs bondés à Singapour. Ce dernier reste toutefois la grosse exception en Asie.
Selon vous, dans quel pays la bière est le plus cher ? Une Singha coûte autour de 60 bahts dans un restaurant. Une Anchor à Siem Reap revient à 4000 riels et une bière Hanoï (Vietnam) 20 000 dongs. "Et ça fait combien en euros ?", dirait une petite voix derrière moi...

Nico.

PS : Dans le dernier jeu intitulé "Par-delà les nuages", le personnage à identifier était effectivement Patrick, le copain de Bob l'éponge, qui s'est glissé dans nos bagages depuis le départ. C'était facile mais on ne voulait pas vous en priver ! Bravo Patou, la plus prompte à répondre.

jeudi 26 mai 2011

Le génocide cambodgien, c'était hier...


Quelques pas sur un sentier mille fois arpenté. Des bouts de tissus délavés se dessinent sous la poussière. Ces fleurs du mal qui éclosent sur la plaine de Choeung Ek rappellent au visiteur l'horreur des charniers de Pol Pot. 17 000 hommes, femmes et enfants ont péri ici. Enterrés dans des fosses. Çà et là, la pluie fait régulièrement remonter des fragments d'ossements blanchâtres et des morceaux de vêtements élimés à la surface.

Le tristement célèbre camp S-21, à Phnom Penh.
Le leader sanguinaire des Khmers Rouges a éliminé la moitié de la population de son propre pays au nom de l'idéologie et par paranoïa. Plus de trois millions de personnes en l'espace de quatre années : de 1975 à 1979. Il y a trente ans. C'était hier. Dans le camps froidement baptisé S-21, en plein cœur de Phnom Penh, on torturait. On humiliait. On "détruisait" les corps, les âmes et la famille des supposés ennemis de la révolution. L'ironie veut que ce camp soit installé dans un ancien lycée. Les intellectuels comme les cadres déchus du parti y trouvaient une fin atroce. Je croyais connaître cette histoire et pourtant j'ai l'impression de tout découvrir en pénétrant dans l'antre du cauchemar cambodgien.

Vous vous dites sûrement que c'est une entrée en matière bien abrupte pour ce nouveau pays. C'est un peu comme ça qu'on le vit. Mais un passage nécessaire pour comprendre cette société. Dès notre arrivée hier, un professeur d'université rencontré dans un restaurant évoquait la mort violente de son père, de ses grands-parents et de ses cousins. Notre guide dans le S-21 a lui aussi perdu ses proches. Ici, lorsque quelqu'un était arrêté, toute la famille était inquiétée. "Pour éviter que la mauvaise herbe repousse, il faut arracher aussi les racines", disait-on. Au Cambodge, l'histoire récente est lourde de conséquences. Derrière chaque visage de quarante et quelques années, on s'interroge. Quel drame a-t-il vécu ?

Nico





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mardi 24 mai 2011

T'as fait quoi ce week-end? Du tir à la corde!

 
Le week-end dernier, c'était : retrouvailles bretonnes à Hô-Chi-Minh Ville. Avec Sabrina et Olivier, couple d'amis que nous venions visiter.
Sabrina, ex-collègue à Ouest-France Saint-Malo, a rejoint Olivier avec leurs enfants dans l'ancienne Saïgon, il y a un an et demi.

Avec Sabrina (à droite) et Corinne, également expat'.
Ils nous ont invités à un fest-noz, samedi. Pensez bien que l'idée plaisait fort à Nico!
Nous n'avons pas été dépaysés : à notre arrivée à l'endroit de la fête, il s'est mis à pleuvoir. Le temps a bégayé avant les finales féminines du tir à la corde. Olivier nous y avait inscrites. Même si nous n'avions pas la tenue appropriée, nous avons tout donné, contre l'équipe vietnamienne. Et nous avons gagné (casquette et T-shirt "Paysans bretons")! Fierté et émotion, forcément!


Mais il n'y a pas que le sport dans la vie, 'y a la bouffe aussi. On a troqué les baguettes contre la galette, bu du cidre brut Loïc Raison et chipé une huître avant de partir. Ah oui, j'oubliais : Nico a dansé la polka tandis que j'ai appris quelques pas, sur la musique d'Alain Pennec. L'accordéoniste était là, en chair et en os.
J'oubliais encore : c'était la fin de notre virée au Vietnam et mon premier fest-noz. Pas banal, non?



Hô-Chi-Minh Ville, c'est aussi :




 
La cathédrale Notre-Dame,
ses mariées qui prennent la pose,
ses commerçants avenants,
la statue de l'ancien président,



des couleurs chatoyantes et
des parties d'échecs chinois sur un bout de trottoir...





Allez, tchao,

Angel.




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dimanche 22 mai 2011

Un matin presque comme les autres




5 h 30. Un joyeux tintamarre, dehors, me réveille. Des bruits de cymbale et des chants. A travers les rideaux mal fermés, le soleil est déjà tout doré. Je soulève une paupière vers la montre accrochée à la tête de lit. Trop tôt. 'Faut dormir encore.

6 h 45. Une voix de femme scande le "Réveil du peuple" national, dans un mégaphone. La bonne parole circule dans les rues de Hoi An, accrochée au cul d'un camion. Je zyeute l'heure à nouveau. Allez, on se repose encore un peu.

7 h. Du bruit dans l'escalier. Des voyageurs lève-tôt. Nous dormons au troisième étage, sous les toits de l'hôtel, dans une chambre sans clim' ni ventil' (nous sommes punis d'avoir dit à un autre couple que nous payons 10 dollars seulement la nuit...). Nico est réveillé lui aussi. Bon, on s'lève? Non. Hier, nous nous sommes couchés à 1h après un coup de fil avec la France; les autres jours, nous étions debout à 6h ou 7h. Bon sang, 'faut récupérer. Je ferme les yeux.

8 h 30. Nous sautons du lit. Ça va être un peu la course ce matin. Nous devons prendre un bus local pour Danang, à 30 kilomètres de là, puis le train pour Hô Chi Minh Ville. Départ sur le rail prévu à 13h24. Durée du trajet vers l'ancienne Saigon : seize heures.

10 h 10. Nous avons avalé notre demi-baguette et nos œufs au plat. Tassé, tassé, et retassé pour boucler nos gros sacs. Payé le million de dong VN pour les nuitées. Écrit deux mails. Récupéré nos trois kilos de linge propre. Appelé un taxi. Nous voilà re-partis!

10 h 20. Le taxi fait signe au bus de s'arrêter. Même pas dû attendre, tant mieux! Sur la route, nous croisons des militaires et leur artillerie. Est-ce qu'ils défilent pour ce jour anniversaire de la naissance d'Hô-Chi-Minh ? Photo. A Danang, le bus nous dépose à 200 mètres de la gare des trains. Ouf! Ça nous évite de marcher trop longtemps avec nos mules sur le dos : 22 kilos bien assumés pour Nico (c'est trop, d'autant que le porteur a perdu du poids...) et un peu plus de 10 kilos pour moi (mais je me suis musclée le dos, en huit mois...). Plus le netbook et l'Olympus avec son téléobjectif. Plus quelques souvenirs que nous posterons au Cambodge, histoire d'éviter les contrôles fouillés et l'ouverture des paquets ici, au Vietnam. Et l'indispensable bouteille d'eau.

14 h. Nous avons avalé une demi-baguette, la deuxième de la journée. Avec du pâté au lieu du thon que Nico avait demandé. Notre train a un peu de retard. Comme nous autres, Français gueulards quand il s'agit de ça, les Vietnamiens ont soufflé et poussé quelques huées. Allez, nous soulevons les pépères. Vivement la Poste... Nous grimpons dans le wagon. Avec nos mules, ça ressemble presque à de l'escalade! Dans notre compartiment, un couple de personnes âgées. Un homme rondouillard et silencieux. Son épouse, chapeau conique posé dans un coin et une bague à chaque doigt. Nous nous faisons offrir des demi-tranches d'ananas. Nous n'essayons pas vraiment de causer. Déjà crevés. On a l'après-midi pour bouquiner, regarder s'étaler les rizières, écrire ce message sur l'ordi et après, au lit! Ce n'est quand même pas gagné, surtout pour Nico : la couchette est trop riquiqui... Les deux Viets, eux, se sont déjà endormis.




Allez, tchao,

Angel.


PS: En fait, ce message est fait pour vous consoler : non, les vacances de longue durée ne sont pas toujours de tout repos! Mais d'autres matins, c'est plutôt :"On fait quoi aujourd'hui? Une balade à moto, on va voir dans les campagnes ou on visite un musée?". Oui, on savourera autant qu'on pourra notre chance de pouvoir faire ça, promis!

samedi 21 mai 2011

"My tailor is cheap" (Mon tailleur est bon marché)


Qu'ont-ils tous à se faire tailler des costards à Hoi An ? On voyait cela sur les blogs de voyageurs et dans les guides. Dans les rues, les tailleurs insistent pour que l'on s'arrête chez eux. Finalement, Angel n'a pas résisté. Car ici, c'est plutôt bon marché.

Elle a donc joué à "Pretty Woman". Une paire d'escarpins ici ; une veste là. Pour une dizaine d'euros, il est facile de trouver chaussure à son pied. Du sur-mesure, s'il vous plaît.

Tout va très vite. D'abord, le choix du modèle dans le magasin, voire sur un catalogue reprenant des marques bien connues. Ensuite, le choix des couleurs et des matériaux. Un bleu plus foncé ici. Des tons plus chatoyants là. Le sourire jusqu'aux oreilles, Angel se laisse guider dans le relevé des mensurations.

En une matinée, tout est calibré. Ne reste qu'à repasser. Car tout est prêt le soir-même. Et pour moi ? ça attendra. Je passerai sous la toise et le mètre ruban à Bangkok.

Nico

vendredi 20 mai 2011

Si Hoi An m'était contée


Un petit côté ville méditerranéenne.
Un Français nous l'avait décrite comme un insupportable repaire de touristes. Je l'ai vue sous un autre angle. Hoi An n'est pas une ville musée. Elle est même tellement mignonne qu'on en vient à oublier les masses d'occidentaux qui, comme nous et à raison, empruntent les artères et les petites veines de son cœur historique.

Hoi An se découvre idéalement à pied. On aime se perdre dans ces ruelles étroites à l'architecture française, japonaise ou chinoise. A s'y promener, elles fourmillent de surprises. Débouchant sur un petit restaurant, un atelier de couture ou une salle de classe improvisée.

Si Hué est un autre Saint-Malo, Hoi An a quelque chose de Lisbonne. Loin du tumulte, de charmantes maisons richement décorées se dessinent derrière les grilles de jardins verdoyants. Et oui, la vie devient poème dans cette ville couleur bohème.

Un enfant prend la pose de Bouddha.
Il y a quelques jours (le 16 mai exactement), des habitants déambulaient en nombre dans les rues. Sur des chars, comme à la fête des fleurs de Landéan (village où j'ai grandi). Eux célébraient la pleine lune et l'anniversaire de la naissance de Bouddha avec des mises en scène et de la musique.


A travers les grilles d'un jardin...
C'est aussi en se perdant à moto à l'extérieur de la ville que l'on se rend compte que l'on est près de tout. De la mer. De la grande ville de Danang au nord. Au hasard de la route, on remarque un pic rocheux orné d'un temple. On s'aperçoit au pied de celui-ci qu'il s'agit d'un site majeur de la région : les montagnes de marbres et leurs grottes dévotes.

En s'aventurant de-ci de-là, on se retrouve tantôt isolés, tantôt dans la nuée.

Nico.



Manucure dans la cour d'une vieille maison de la ville.

 
Sous la lumière des lampions, une mamie mange sa soupe en écoutant la pluie tomber.

mercredi 18 mai 2011

Alors, coco ou con-con?


On a pu paraître agacés par la chaleur mercantile des Vietnamiens. C'est vrai. On a pu sembler aigris par leur accueil rigide. Parfois. Mais il n'y a que les cons qui ne changent pas d'avis...
Plus on avance vers le sud, mieux c'est. Les échanges simples reviennent, les sourires francs aussi. De même que les belles rencontres, comme celle faite à la guesthouse de Hué, avec le gérant et ses employés. On s'y sentait bien. Pas comme à la maison, ce serait exagéré, mais pas loin.

Je crois que le Vietnam nous laissera de bons souvenirs, en dehors de ses incroyables paysages. Même si les trois mots "buy for me" sont ceux qu'on entend le plus souvent...


Ce pays, ce sera aussi celui des potes voyageurs. D'abord, il y eut David, le joyeux Catalan rencontré à la frontière. Ensemble, on a découvert le pays et appris quelques mots de la langue vietnamienne : bonjour, c'est bon, je n'ai pas d'argent... ("Xin Chao", "Tot", "Toi khong Cotien")

Ensuite, il y eut Alice et Joël, un couple de routards belges bien sympa rencontré un soir, à la guesthouse de Ninh Binh, dans la baie d'Along terrestre. Eux font un tour du monde en douze mois. On s'est retrouvés à Hué puis à Hoi An, ancien port marchand. On a déconné, bu des bières, discuté de nos voyages, de nos vies, du départ et du retour au bercail.

Plus tard, il y aura aussi Alice et Joël. Les mêmes. On a promis de se retrouver au Cambodge. On a encore des choses à se dire.


Tchao,


Angel.

PS: le lien vers le blog d'Alice et Joël : http://www.lesskipassent.blogspot.com/

mardi 17 mai 2011

Hué : le charme d'un Saint-Malo vietnamien



Une plage. Des fortifications de style Vauban. Comparer Hué à Saint-Malo est exagéré mais à l'échelle de la planète, elles ont déjà de sacrés points communs. Hué est une ancienne capitale du Vietnam, bercée par la rivière des Parfums. Dans les murs de sa citadelle et alentours, elle a aussi conservé des vestiges de son glorieux passé.

Prendre le temps de se perdre dans sa cité impériale, déambuler dans les mausolées de ses empereurs mégalomanes et se laisser conter l'histoire du bonze Thich Quang Duc. Parti en 1963 de la pagode de Thiên Mu au volant de son Austin bleu, le vénérable moine s'est immolé en plein centre-ville à Saïgon en signe de protestation contre la répression à l'encontre du bouddhisme.



On est venus à Hué pour son histoire, on y est restés pour sa gastronomie, ses habitants accueillants et sa tranquillité au fil de l'eau.


Nico












dimanche 15 mai 2011

Par-delà les nuages


Comme nous sommes très inventifs, nous avons trouvé un nouveau jeu rien qu'en regardant le ciel de Tam Coc, dans la baie d'Along terrestre (voir aussi le message précédent).
Ouvrant la gueule, le nuage ressemble à une tête de dragon.
Avec encore plus d'imagination, il fait aussi penser à un autre personnage. Quel est-il? Que fait-il?

Pour vous aiguiller, trois indices :

1- C'est un ami.

2-Les Irlandais l'aiment beaucoup.

3- Il jette rarement l'éponge


Faites-vos jeux! Et que Tom n'aille pas dire que c'est trop facile :)


Angel et Nico.

jeudi 12 mai 2011

"C'est un roc !… C'est un pic !… C'est un cap !… Que dis-je, c'est un cap ?… C'est une péninsule! "


Le Vietnam nous colle à la peau. Il fait 37°C et on transpire à grosses gouttes (Nico va encore perdre des kilos!)
Nous avons entrepris de découvrir la Baie d'Along terrestre : au lieu d'une croisière sur la mer émeraude, nous avons loué un scooter, pour aussi fuir les autres touristes, disons-le tout haut!

A peine avons-nous quitté le village de Ninh Binh, 130 000 habitants à 93 km au sud de Hanoï, que jaillissent les îlots granitiques sculptés par les années, les vents et les marées.



Le premier jour, nous nous offrons également une balade sur les eaux truffées de grottes. Le deuxième jour, nous circulons à travers les rizières noyées de soleil. Le pied! Nous entreprenons une ascension de 500 marches vers une petit temple surplombant la baie. Sous le cagnard. Obligés. Nous sommes rincés! Mais la récompense est au bout de l'escalier : le plus beau panorama qu'il nous a été donné de voir jusque-là!

Tchao,

Angel.

Vu du ciel... ou presque.
 En arrière-plan, les escaliers.















mardi 10 mai 2011

Le septième principe du moine boudhiste : la réponse


Voici le réponse au message :
http://lemercredinarrivepasquunefois.blogspot.com/2011/04/pour-un-petit-moine-peut-on-dire-un.html

J'ai bien aimé la quatrième proposition de Benji et la troisième, plus personnelle, de Patou. Marie a cru que c'était "ne connaître de fête que la célébration d'événements bouddhistes" et la réponse de Nath paraissait crédible : "ne pas manipuler d'argent". Mais c'est tout faux, les amis! Même Tony, qui a tenté sa chance jusqu'à tout récemment.

Tom avait presque bon et, au dernier moment, il a fait le mauvais choix. La réponse était, tout à la fois, "Ne pas chanter, ne pas danser, ne pas regarder d'émission télé de variétés, ni porter d'ornements, de cosmétiques ou de parfum."
Alors, qui se rapproche de la vérité, au bout du bout?

Tchao,

Angel.

PS: Marie m'a dit que le lien vers l'album Picasa web de notre trekk à Sapa ne fonctionnait pas. C'est maintenant revu et corrigé. Pour ceux qui veulent voir les photos, il faut revenir au message "Dirty Boots 2".